Un monstre sous le lit, un fantôme dans la penderie, un vampire sous la fenêtre…

L’imagination des bambins n’a pas de limite lorsqu’il s’agit de se faire peur.
C’est cette fantaisie débridée, conjuguée à la difficulté qu’ont les tout-petits de distinguer la réalité de l’imaginaire, qui rend souvent l’heure du coucher si difficile.
Dans le noir, l’enfant n’a plus de contact visuel avec l’environnement familier qui lui permet normalement de se rassurer. Entre aussi en jeu la crainte de certains jeunes enfants d’être séparés de leurs parents. De peurs irrationnelles qui disparaissaient en général vers l’âge de six ans.
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