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07 mars 2019
Temps de lecture : 1 minute

L’impact du 9 à 5 sur le cerveau des couche-tard

PIxabay

Les oiseaux de nuit qui font du 9 à 5 vivent en constant décalage horaire, et cela nuit à leurs capacités de concentration et de vigilance, selon une récente étude publiée dans la revue Sleep .

On dit souvent que l’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt. Qu’en est-il des 10 à 20 % de la population qui ont un « chronotype du soir » ? Ces personnes sont biologiquement contraintes à être plus actives en fin de journée, se couchent après 2h du matin, et ont besoin de plus d’un réveil pour se tirer du lit.

Passer au travers d’une journée de travail selon un horaire standard est un défi quotidien pour ces couche-tard. Non seulement leurs facultés cognitives sont affectées, mais leur état de santé à long terme est menacé.

Pour arriver à cette conclusion, des chercheurs de l’université de Birmingham, au Royaume-Uni, ont comparé les fonctions cérébrales, au repos, de 22 jeunes adultes de type « soir » à celles de 16 autres de type « matin » à trois heures différentes de la journée : 8h, 14h et 20h. Le réseau du mode par défaut, qui s’active lorsque nous sommes éveillés, mais inactifs, est important pour plusieurs fonctions du cerveau.

Fonctions affectées

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