Image: Maxime Juneau_APMJ
Pour notre éditrice, Suzanne Lareau, ceci est son dernier numéro de Québec Science. Elle quitte ses fonctions de présidente-directrice générale de Vélo Québec à la mi-février. Dans un dernier message aux lecteurs, elle parle de son attachement particulier envers le magazine.
Vélo Québec publie Québec Science depuis 2008. Quel est le rapport entre ces deux secteurs d’activité? nous a-t-on souvent demandé. C’est le fruit d’une occasion et d’une alliance d’idées qui a poussé Vélo Québec Éditions à faire l’acquisition du magazine alors que le Cégep de Jonquière cherchait à s’en départir. Une publication de plus pour notre petite maison d’édition, mais qui venait avec de grandes responsabilités que nous avons prises très au sérieux : vulgariser la science et éduquer nos concitoyens et concitoyennes. Bien sûr, quand on parle d’astronomie ou de physique quantique, le lien avec Vélo Québec est ténu, voire inexistant. Mais lorsqu’il est question de santé et d’environnement, voilà des sujets qui s’inscrivent dans la mission de notre organisation et, à cet égard, notre quête d’information juste est insatiable.
C’est donc le dernier Québec Science que j’édite, mais c’est loin d’être votre dernier Québec Science, puisque la qualité du traitement journalistique ne changera pas. L’équipe de rédaction, dirigée par Marie Lambert-Chan, reste bien en selle pour poursuivre le travail. Je tiens d’ailleurs à souligner la rigueur de l’équipe qui continuera à vous offrir ce magazine. Une petite équipe qui ne s’en laisse pas imposer malgré les temps difficiles que traverse la presse écrite. Longue vie à Québec Science, qui célébrera ses 60 ans en 2022 !
− Suzanne Lareau, PDG de Vélo Québec et fidèle lectrice de Québec Science
Merci, Suzanne !
Ce numéro est le dernier que notre éditrice Suzanne Lareau révisera avec son œil averti. En février, elle nous quittera pour d’autres aventures, après avoir travaillé pendant plus de 35 ans chez Vélo Québec (qui chapeaute notre maison d’édition), dont 19 à la tête de l’organisation. Passionnée de vélo, Suzanne est également une mordue de nouvelles scientifiques. Elle s’est toujours portée à la défense de la culture scientifique et du droit du public à l’information. Et surtout, elle a toujours cru à l’importance d’un magazine comme le nôtre dans l’industrie médiatique. Son aplomb, son souci de la précision, sa curiosité, son rire et son immense confiance en notre équipe nous manqueront beaucoup. Merci pour tout, Suzanne !
L’équipe de Québec Science