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16 mai 2024
Temps de lecture : 2 minutes

Soudure, identité sportive et virus au barbecue : la finale 2024 éclectique de Ma thèse en 180 secondes

L’Acfas a accueilli la finale du concours Ma thèse en 180 secondes pour une 13e année consécutive. Les lauréats et lauréates du concours sont, de gauche à droite, Paco Alvarez, Sophie Tanguay, Nada Zoubdane et Charles Fort. Photo: Mélanie Provencher

Vingt et un étudiants et étudiantes universitaires ont ébahi le public et le jury lors de la finale nationale 2024 de Ma thèse en 180 secondes, qui s’est déroulée le 15 mai à l’Université d’Ottawa dans le cadre du Congrès de l’Acfas.

La finale du concours Ma thèse en 180 secondes a réuni des jeunes francophones du Canada ayant le défi de présenter en trois minutes leur projet de recherche doctoral.

Sous l’œil attentif du jury, les finalistes ont été évalués sur la clarté des propos, la capacité de vulgarisation et le respect des 180 secondes imparties. Parmi la multitude de sujets allant des coûts engendrés par les coups de chaleur à l’inflammation artérielle, c’est l’amour des jointures de ponts qui a remporté la première place.

Des ponts et des relations qui durent

Le grand gagnant, Paco Alvarez , étudiant au doctorat en génie mécanique à Polytechnique Montréal, a séduit le jury avec une présentation imagée sur un sujet complexe : l’étude du comportement en fatigue des soudures de ponts en aluminium.

« On a tous déjà eu une relation qu’on aurait voulue éternelle », a lancé l’étudiant en ouvrant le bal. Pendant toute sa présentation, il a comparé la liaison entre deux pièces de métal à une liaison amoureuse.

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