Il n’existe pas encore de vastes études sur la survie des patients atteints de la COVID-19 qui se rendent jusqu’aux soins intensifs et/ou qui ont besoin d’assistance respiratoire, puisque la maladie est encore très récente.

Les chercheurs apprennent encore à connaître le virus de la COVID-19, mais jusqu’à maintenant, il n'existe pas de grandes différences entre les souches du virus en Chine et celles qui circulent ailleurs dans le monde, ce qui est encourageant.

Le SRAS avait tendance à infecter le bas des voies respiratoires alors que la COVID-19 reste dans le haut, ce qui la rend plus facilement transmissible.

Pour tuer des virus le rince-bouche doit entrer en contact direct avec ces derniers. Or le coronavirus se reproduit surtout dans les voies nasales et les voies respiratoires jusque dans les poumons, soit des endroits qui sont hors d’atteinte pour tout gargarisme.

Le premier cas officiellement détecté au Québec remonte au 27 février, et il serait bien étonnant que la COVID-19 ait commencé à circuler chez nous bien avant cela.

Une deuxième vague demeure possible, mais selon le nombre de gens qui auront été infectés lors de la première, elle sera un peu ou bien moins pire.