Vidéo co-produite par Québec Science et Canal Savoir
En sculptant des microfissures dans le verre, « recopiant » ainsi les motifs structuraux de la nacre des coquillages, des ingénieurs de l’Université McGill ont réussi à rendre ce matériau 200 fois plus résistant aux chocs.
Ces microfissures ne font pas plus de 10 micromètres, à peine le dixième de la largeur d’un cheveu, et elles permettent à l’énergie de se disperser en cas de choc selon un « chemin » artificiel, empêchant la cassure. Une technique qui pourrait s’appliquer à tous les matériaux et les renforcer considérablement.
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