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03 octobre 2017
Temps de lecture : 2 minutes

Ma thèse en 180 secondes : 2e place pour un étudiant de l’Université Laval

Expliquer en 180 secondes le sujet d’une thèse de doctorat sur un biomatériau développé pour « stocker » de l’énergie solaire dans les murs des maisons pour réduire les besoins de chauffage: voilà le défi qu’a relevé Damien Mathis, étudiant de l’Université Laval. Il a remporté la deuxième place de la finale internationale du concours de vulgarisation scientifique Ma thèse en 180 secondes , organisé par un comité international dont fait partie l’ Association francophone pour le savoir (Acfas), qui s’est déroulée jeudi dernier à Liège, en Belgique. Entrevue.

Comment avez-vous eu l’idée de ce projet de thèse ?

L’idée en fait remonte aux temps ancestraux et l’igloo s’en inspire un peu d’ailleurs. La recherche scientifique en parle depuis 1956. Dans le bassin méditerranéen, on essaye de développer le stockage d’énergie pour éviter la surchauffe des bâtiments l’été, mais c’est difficile à appliquer. Après avoir fait mon baccalauréat en génie des matériaux en France et un master en agromatériaux, j’ai trouvé ce sujet de thèse très intéressant avec la Chaire industrielle de recherche sur la construction écoresponsable en bois (CIRCERB) au Québec, où il n’y a pas vraiment eu d’essais de cette technologie.

Pourquoi avoir décidé de vous lancer dans l’aventure de Ma thèse en 180 secondes ?

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