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Il y aurait un «sexe faible» face à la COVID-19: les hommes ont deux fois plus de risques de souffrir d’une forme grave de la maladie ou d’en mourir que les femmes, peu importe leur tranche d’âge ou leurs problèmes de santé.
Il y a maintenant un an que le SRAS-CoV-2 fait la pluie − surtout − et le beau temps dans nos vies. Même si nous n’avons pas totalement pris le dessus sur le virus, nous avons beaucoup appris ! Nous anticipons les complications de la maladie, traitons mieux ses formes critiques, sans parler des nombreux vaccins. Nous avons aussi mis le doigt sur ce qui prédispose à une infection grave comme l’âge, le diabète ou l’obésité. Mais un autre facteur de risque important présent chez la moitié de la population a aussi été désigné : le fait d’être un homme.
Il y aurait donc un « sexe faible » face à la COVID-19. En effet, les hommes ont deux fois plus de risques de souffrir d’une forme grave de la maladie ou d’en mourir que les femmes, peu importe leur tranche d’âge ou leurs problèmes de santé. On avait remarqué la même tendance avec le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). On est loin de la fameuse « grippe d’homme ».