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Vous souvenez-vous du dilemme que je vous soumettais dans cette même chronique en septembre dernier ? Il se posait ainsi : que souhaiteriez-vous si l’on vous hospitalisait pour un problème X alors que vous êtes malade et à un âge avancé et que votre cœur s’arrêtait ?
Pour alimenter votre réflexion, je vous avais décrit ce qui se passe lors d’une réanimation cardiorespiratoire (RCR). Je concluais en évoquant que je serais moi-même plutôt réticente à ce qu’on déclenche une telle procédure si les chances de m’en sortir sans séquelles étaient faibles.
Vous avez été si nombreux et nombreuses à me transmettre vos commentaires que j’ai eu envie de faire une suite… Mon collègue spécialiste des soins intensifs, le D r Marc Brosseau, ne pouvait tomber mieux quand il m’a accostée dans le corridor de notre hôpital : « Faut que je te parle de ta chronique sur la belle mort ! » S’en est suivie une discussion fort intéressante qui m’a fait voir quelques nuances.
Penser aux autres
Il faut savoir que mon confrère est aussi médecin coordonnateur chez Transplant Québec , un organisme qui chapeaute le processus du don d’organe dans la province depuis 50 ans.
Le D r