Je n’avais pas prévu qu’un si petit microbe ferait ombrage à un si grand moment de ma vie.

Le principe d’autodétermination de la personne doit primer. Mais la perspective, comme soignante, de devoir exercer l’aide médicale à mourir sur un patient inapte, ou comme proche, de devoir choisir le « moment opportun » me noue l’estomac. Que se passera-t-il si au moment de la procédure, le patient exprimait un refus de mourir?

Au Canada, le tiers des examens et traitements médicaux prescrits sont potentiellement inutiles. Les conséquences ne sont pas banales, comme nous le rappelle notre chroniqueuse.

La féminisation de la médecine ne laisse personne indifférent. Pourquoi?

De plus en plus de chercheurs estiment que le cancer serait une malchance sociale.

Nos aînés souffrent de solitude. Pour Noël, offrons-leur le plus vieux médicament qui soit: la chaleur humaine.